trappe [1]
nf (tra-p')
- 1Porte posée horizontalement sur une ouverture à rez-de-chaussée ou au niveau du plancher.
Ces deux hommes levèrent une grande trappe de bois, couverte de terre et de broussailles, qui cachait l'entrée d'une longue allée en pente et souterraine
. [Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane] - 2L'ouverture elle-même. Monter au premier par une trappe.
- 3Espèce de porte, de fenêtre qui se hausse et qui se baisse dans une coulisse. La trappe d'un colombier.
- 4Espèce de porte en tôle, dans une cheminée à la prussienne ou autre.
Pièce de tôle servant à intercepter l'air froid d'une cheminée.
Petite porte que l'on place sur un coffre de cheminée pour le service des ramoneurs.
- 5Pièce de fer qui s'engage dans les dents du cric des berlines.
- 6Piége pour prendre des bêtes, formé d'un trou pratiqué en terre et recouvert de branchages, ou d'une bascule. Tendre une trappe. Dresser une trappe.
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1.7Planche de hêtre, dite aussi doublette, de 0m,33 largeur, et 0m,075 à 0m,081 épaisseur, NANQUETTE, Exploit. débit et estim. des bois, Nancy, 1868, p. 79.
8Retraite à pigeons (voir TRIE 2 au Supplément).
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